Informatique et électro-sensibilité

De plus en plus de personnes sont déclarées électrosensibles. Ce mal a commencé à apparaître  Le premier cas reconnu en France date d’août 2015. Mais que met-on derrière l’électro-sensibilité ?

De l’origine des mauvaises énergies

Notre corps est composé d’eau à 70%, qui est un conducteur électrique, mais aussi une éponge à énergies électromagnetiques.

La Nature dispose de ses propres énergies électromagnétiques : le champ de gravité terrestre est le plus intense, mais tous les êtres vivants en produisent. Les espèces qui ont survécu ont ainsi développé une sensibilité assez faible pour interagir avec l’environnement et les autres espèces.

L’essor de l’industrialisation au milieu du XIX° a instauré diverses disciplines autour de la synthétisation des éléments naturels : matières, molécules dans les médicaments, alimentation, vêtements… La synthétisation résulte d’un concept scientifico-philosophie limitant les actions et les interactions aux molécules, plus précisément aux atomes qui les constituent, tels des chiffres dans une opération. Cependant, on se rend compte que les atomes sont constitués de particules, concentrats d’énergie aux propriétés physiques, et que les interactions environnementales altéraient les propriétés mêmes de chaque atome, influençant sur leur stabilité, leur « stress »…

De ce fait, vivre dans un environnement synthétisé altère notre propre fluidité de fonctionnement, au sens énergétique. Car cette aseptie désorganise les équilibres énergétiques à l’échelle atomique, et quoiqu’en pense la science occidentale, nous sommes avant tout consitutés d’atomes.

Les champs électromagnétiques qui servent pour les transmissions sans fil longues distances (Wi-Fi, téléphonie cellulaire…) exploitent des fréquences ondulatoires très élevées, augmentant le risque de résonner avec les atomes dont l’oscillation se compte en milliards de Hertz, notée GHz (par exemple, dans le cas du césium utilisé pour les horloges atomiques, la fréquence est 9 192 631 770 Hz). Ces hautes fréquences sont censées avoir le moins d’interactions possibles avec la matière qu’ils traversent, à la différence des grandes ondes en radiophonie qui étaient définies selon le relief à parcourir.

Or, ces ondes ne traversent pas tout, et posent de sérieux problèmes dans les environnements clos à structure métallique. En effet, non seulement les ondes ont du mal à passer, mais en plus cela provoque un effet amplificateur par les rebonds des ondes à l’intérieur de l’espace. Ainsi, en 2007, certaines bibliothèques ont monté un moratoire pour demander le retrait du Wi-Fi dans leurs établissements.

Mais ce n’est pas tout : le courant électrique domestique génère également des champs électromagnétiques de mauvaise qualité, dû au transport, à la qualité des conducteurs, aux transformations de tension (le courant est véhiculé en très haute tension pour limiter les échauffements), au caractère alternatif et non continu (historiquement, les premières installations étaient en courant continu)…

En terme d’informatique, et d’électronique en général, les mauvaises ondes ont générées par les processeurs et la finesse de gravure des composants. Pour faire simple, il existe un point d’équilibre entre la matière utilisée pour conduire les électrons et la finesse de gravure, permettant une parfaite isolation électronique. Ce point a été franchi lorsque les composants ont été gravés sous la barre des 32 nano-mètres d’épaisseur, induisant une mauvaise circulation des électrons et donc la génération d’énergies liée aux collisions des électrons avec les matières moins isolantes.

Pour faire simple, notre environnement est rempli d’ondes de synthèse qui altèrent notre fonctionnement atomique, moléculaire, cellulaire et corporel.

Les symptômes liés à l’électro-sensibilité

Ils diffèrent d’un individu à un autre, mais on peut trouver des similitudes, comme la fatigue, les maux de tête, les nausées… Selon la fréquence vibratoire des chakras de chacun, certains peuvent se retrouver verrouillés et induire des réactions de différentes natures : peur, troubles émotionnels…

Les solutions qui existent

Les ondes sont partout. Mais il existe plusieurs moyens de s’en prémunir.

  • habiter en Ardèche ou au fin fond de l’Amazonie
  • isoler une pièce ou sa maison avec un grillage en cuivre (à prévoir lors de la construction de sa maison en Ardèche)
  • lisser le courant électrique pour limiter les interférences électromagnétiques dues aux spins non homogènes des électrons
  • pour les téléphones mobiles, privilégier un téléphone en lieu et place d’un smartphone ; pour les tablettes certaines sont équipées de port Ethernet, d’autres peuvent accueillir un adapteur USB/RJ45
  • utiliser des multiprises à interrupteur pour débrancher les transformateurs et appareils en veille
  • pour Internet, utiliser des cables Ethernet, au pire des prises CPL.
  • pour l’informatique, ne pas prendre de machine trop récente, car la finesse de gravure est source d’ondes mauvaises. Privilégier des composants gravés au plus fin en 32 nm (nanomètres, la limite naturelle du silicium en tant qu’isolant)
  • il existe des combinaisons qui réfléchissent les ondes, ainsi que des pierres (tourmaline, shungite, labradorite…) et des orgonites, à poser ou porter sur soi. Des elixirs minéraux peuvent aider de l’intérieur.
  • certains pictogrammes ou dispositifs collés sur les appareils électroniques limiteraient la transmission d’ondes (à noter : plus un téléphone aura ses ondes perturbées, plus il augmentera la force de son signal pour assurer une bonne communication)

Une des premières questions à se poser est de lister ses réels besoins, de savoir quel confort est nécessaire (frigo) ou accessoire (dernier gadget high-tech).